J'ai rattrapé ces derniers jours les 6 tomes parus et voici, en vrac, mes quelques sentiments :
Déjà, Gillen sur RPoX s'en sort bien mieux que Duggan sur FHoX, aussi bien en qualité pure que dans l'idée de retrouver les thématiques de Hickman et sa narration. Là où RPoX va aussi loin que RPoX dans la grosse SF, FHoX n'arrive pas à la cheville de HoX dans l'action, dans les révélations, tout simplement dans ce que ça raconte. Et Lucas Werneck n'est déjà pas Pepe Larraz au départ, mais en plus il tire très rapidement la langue... Alors que RPoX a toujours RB Silva
La tension de l'épisode 3 de RPoX en fait un des grand épisode de la saga Krakoa, en bouclant la boucle sur le personnage de Moira. Je ne sais pas si elle reviendra dans les 2 derniers tomes, mais dans tous les cas, je serais curieux de voir un jour un scénariste reprendre le personnage, pour passer peut-être au-delà de la caricature de méchante qu'elle est (malheureusement) devenue et peut-être faire une version définitive du perso, respectueux de l'avant Hickman comme de ce qu'il en a fait.
X-Men Forever commence très bien et Gillen m'impressionne sur la grande cohérence de sa saga dans la saga. Relire juste les épisodes de GIllen sera je pense fort intéressant.
Dead X-Men est un complément sympathique des épisodes de Gillen, malgré un graphisme irrégulier.
Phil Noto sur X-Men, ou en tout cas sur ces épisodes, c'est une sacrée faute de casting.
Dans Cable, c'est marrant de voir Nicieza ressortir ses propres jouets (Jonathan Chambers, Black Womb) au sein d'une histoire sans lien avec le reste.
Pour la conclusion d'X-Force, comme dit au dessus, on est vraiment dans l'attendu, sans grande surprise, sans souffle. Juste sympa de revoir Wonder Man.
Et je peux pas dire que je suis passionné par Sabretooth War, je trouve que le personnage se marie très mal avec le concept de doubles multiversels multiples. C'est parfois un peu prenant, parfois un peu beauf. Après je peux vraiment pas dire que la série Wolverine fut celle qui m'a le plus passionné de la période Krakoa donc on reste dans la continuité.